Est vice-président, Science et Recherche, de la Société royale des sciences de la Jordanie. Avant de prendre son poste actuel, M. Al-Jayyousi était le directeur régional du bureau Asie de l’Ouest/Moyen-Orient, de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Il a obtenu son master et son doctorat en 1993 de l’Université de l’Illinois à Chicago, dans l’urbanisme et l’analyse des politiques publiques. Il a enseigné pendant 10 ans à l’Université des sciences appliquées, en Jordanie, où il est devenu professeur des Ressources en Eau et de l’Environnement et doyen de la recherche. Le Professeur Al-Jayyousi a travaillé aux États-Unis, dans la ville de Chicago au département de la planification et à l’Université du Centre de l’Illinois pour le développement économique urbain. En tant que consultant, il a conseillé des agences de l’UE et de l’ONU, la Banque mondiale et la GTZ. Il a publié plusieurs articles scientifiques dans des revues internationales.

Directeur de l’Institut Faraday pour la science et la religion à l’université de St Edmund, Cambridge, biologiste moléculaire et auteur de science et religion, également éditeur de Science et Foi Chrétienne.

Recteur de l’Institut Musulman de la Mosquée de Paris depuis 1992 et premier Président du Conseil Français du Culte Musulman (deux mandats : 2003/2005, 2005/2008) et de la Fondation des Œuvres de l’Islam, il naît en Algérie en 1940 où il passe son enfance avant de rejoindre la France métropolitaine avec sa famille en 1957.
Fils de Si Hamza Boubakeur (recteur de la Mosquée de Paris de 1957 à 1982 et auteur d’une traduction en français du Coran), il poursuit ses études à Paris au lycée Louis Legrand puis, après la Faculté de Médecine, devient médecin rattaché à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Par la suite, il est chargé d’enseignement aux Facultés de médecine de Paris-Créteil, du Kremlin-Bicêtre et de la Pitié-Salpêtrière. Il est membre du Conseil de l’Ordre des médecins de Paris depuis 1977.
Il est aussi diplômé des Arts et des Lettres de l’université al-Azhar en Égypte, diplômé honoris causa de l’université islamique de Zitouna en Tunisie et Commandeur dans l’Ordre National du Mérite.
Fondateur de publications et revues islamiques, il est l’auteur de nombreux ouvrages et publications dont « Les Dix Commandements », avec Jean-Michel Di Falco, Joseph Sitruk, Alain Mamou-Mani (Albin Michel, 2000), « Les défis de l’Islam » (Flammarion, 2002), « Non ! l’Islam n’est pas une politique » (Desclée de Brouwer, 2003), « L’Appel au Dialogue » avec Bernard Kanovitch (Editions N°1, 2003) ; « La Charte du culte musulman » (1995), « Le Licite et l’Illicite dans l’Islam ». Il est l’auteur également de nombreuses communications et réflexions sur la bioéthique musulmane, de communications scientifiques sur l’histoire de la médecine et des sciences arabo-musulmanes, des mathématiques arabes et de l’art musulman.

Est mathématicien algérien. Professeur Émérite à l’Université des Sciences et des Technologies de Lille, il est également chercheur en Histoire des Mathématiques, Associé au C.N.R.S. (U.M.R. 8524), spécialisé dans les Mathématiques arabes médiévales d’al-Andalus, du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. Membre du comité éditorial de diverses revues internationales (LLull, Saragosse ; Journal for the History of Arabic Science, Syrie ; Tarikh-e Ilm, Iran), il est aussi vice-président de Transcultura (sous la présidence d’Umberto Eco) depuis 2008, ainsi que de l’Institut international de recherche de politique des civilisations (présidé par Edgar Morin) depuis 2009. Il a plusieurs publications à son actif dont, entre autres ouvrages, Une Histoire de la science arabe (Seuil, 2001), L’Algèbre arabe, genèse d’un art (Vuibert-Adapt, 2005) et Les Découvertes en pays d’Islam (Le Pommier, 2009).

Professeur adjoint à l’Université hachémite. Elle a obtenu un doctorat en biologie moléculaire de l’Université de l’Iowa, Etats-Unis, en 2005, ancienne élève de Fulbright, elle est actuellement professeur adjoint et directeur du Centre d’études de l’Université hachémite en Jordanie. Ses recherches portent sur les études d’association génomique concernant le diabète et le cancer dans les populations ethniques en Jordanie. Ses autres sujets de recherche comprennent transduction de signal, les cellules souches et la bioinformatique.
Le Dr. Dajani est active sur tous les fronts liés aux sciences: organisatrice de la quatrième conférence de la recherche scientifique sur le cancer en Jordanie; consultant auprès du Conseil supérieur de la science et de la technologie sur l’identification des priorités nationales de recherche en Jordanie. Elle a écrit dans les revues Science et Nature sur la science dans le monde arabe.
Elle est également un ardent défenseur de la théorie de l’évolution biologique et de sa compatibilité avec l’Islam. Elle a été conférencière Templeton-Cambridge Journalism Fellowship symposium à l’Université de Cambridge et à la conférence organisée par le British Council « Belief in Dialogue » à l’Université américaine de Sharjah.
En matière d’éducation, elle a été nommée expert de la réforme de l’enseignement supérieur par le bureau TEMPUS, Jordanie ; est fondatrice du centre de service de l’apprentissage financé par TEMPUS à l’Université hachémite ; est un défenseur de l’enseignement grâce à l’apprentissage par des problèmes, la lecture de romans, de drames ; a mis en place un réseau de mécénat pour les femmes, et a été conférencier à TEDxDeadsea.
A l’horizon plus large, le Dr Dajani a développé un modèle communautaire et philosophique : «Nous aimons la lire (We Love Reading) », afin d’encourager les enfants à lire pour le plaisir pour lequel elle a reçu le prix Synergos pour les innovateurs sociaux du monde arabe en 2009, l’adhésion de la Clinton Global Initiative 2010 et une place dans le livre à paraître l’innovation en éducation: les leçons de pionniers dans le monde, financés par la Fondation du Qatar. WLR s’est répandue à travers la Jordanie, le monde arabe et à l’international, pour atteindre la Turquie, la Thaïlande et l’Azerbaïdjan. Le Dr. Dajani dans les médias: Huffington Post, USA Today, Washington Post, Al Jazeera, VOA, The Chronicle of Higher Education, The Guardian et Reuters. Le Dr. Dajani est mariée et mère de quatre enfants.

Formé en mathématiques à l’Université de Cambridge, il brièvement a travaillé comme le secrétaire de la British Society for Social Responsibility en sciences avant d’entrer dans le journalisme scientifique en 1973. Il a travaillé pour un certain nombre de revues scientifiques, dont Science, New Scientist et Nature, dont il a été correspondant à Washington en 1978-1982, et rédacteur de nouvelles en 1993-2001. Il a quitté Nature pour mettre en place le site SciDev.Net, spécialisé dans les rapports entre la science et la technologie dans les pays en développement, en 2001, en qualité d’administrateur jusqu’à sa démission en 2011. Il est l’auteur d’Alternative Technology (1973) et la nouvelle politique de la science (1985), et est actuellement membre du conseil de l’Association des sciences britannique. En 2012, il a été gratifié d’un prix d’excellence à vie par l’Association British Science Writers.

Astrophysicien, docteur de l’Université de Californie à San Diego, il a passé deux années en tant que chercheur au NASA Goddard Space Flight Center. Il est actuellement professeur de physique à l’Université Américaine de Sharjah aux Émirats Arabes Unis. Il a publié de nombreux papiers scientifiques aussi bien que des articles sur des questions scientifiques générales. Auteur du livre « Réconcilier l’Islām et la science moderne : L’esprit Averroès » et co-auteur de deux autres ouvrages : « La détermination du croissant lunaire et le calendrier islāmique » et « L’histoire de l’univers », tous deux écrits en arabe. Il a également dirigé la publication des travaux d’une conférence sur l’application de l’astronomie à des problèmes islāmiques. Plus récemment, NIDHAL GUESSOUM a étudié plusieurs questions relatives au rapport entre science et islam, se focalisant particulièrement sur la cosmologie et le principe anthropique ainsi que sur les questions relatives aux phénomènes culturels comme ceux des « miracles » scientifiques présumés être contenus dans le Coran et la question de l’évolution biologique et humaine et son rapport.

Astrophysicien, directeur de recherche au CNRS spécialisé dans la formation des galaxies, il dirige actuellement l’Observatoire astronomique de Lyon. Il est l’auteur de nombreux articles scientifiques. Pendant plusieurs années, il a présenté « Connaître l’Islām », une émission hebdomadaire de la chaîne France 2. Il est le directeur de l’Institut des Etudes Islamiques Avancées et a dirigé le du groupe de recherche « Science et Religion en Islām » de 2005 à 2009.

Est chercheur senior en études islamiques à Quilliam, il a obtenu un doctorat, MA et MSc des universités de Cambridge et de Londres en physique théorique et l’intelligence artificielle, et est Fellow de la Royal Astronomical Society. Également Imam formé traditionnellement il possède une certification en Coran et Hadith, il est l’auteur d’un certain nombre de traductions et de publications universitaires dans les domaines du Coran, Hadith, la loi islamique et l’éthique. Il est un collaborateur régulier des médias internationaux grand public.

Il est à la fois historien, écrivain, philosophe, mathématicien et créateur d’événements.
Il est l’auteur, notamment, de l’Histoire universelle des chiffres (éd. Robert Laffont, “Collection Bouquins”, Paris 1994), important ouvrage qui relate au travers des chiffres et des systèmes de compte du monde entier, une véritable histoire universelle de l’intelligence humaine, avec une abondante illustration (plus de 16 000 calligraphies, gravures, dessins, sculptures, peintures et autres), toute exécutée ou redessinée de la main même de l’auteur.
Best-seller international publié en plus de 35 langues dans le monde, cet ouvrage a reçu de multiples récompenses internationales. Il a été sélectionné notamment par la revue The American Scientist parmi « les cent livres de sciences qui ont marqué le XXe siècle de sciences ».
Depuis déjà plusieurs années, GEORGES IFRAH a développé une recherche de fond sur l’histoire des sciences arabes et sur le rayonnement mondial, culturel, scientifique et technique de la Sphère géographique arabo-islamique à l’époque médiévale, incluant les contributions non négligeables des Grecs, Indiens, Persans, Chinois, Andalous, Berbères, Turcs, Juifs et Chrétiens de ce monde.
Il a rassemblée des documents iconographiques témoignant du génie véritablement précurseur des savants de l’âge d’or de la civilisation arabo-islāmique. Il a élaboré une base de données tout à fait unique composée de plusieurs milliers d’images et d’informations, à partir d’une multitude de documents, gravures, enluminures, miniatures et manuscrits disséminés à travers des musées, des bibliothèques et des centres d’archives à travers le monde.
Il a organisé et réalisé en décembre 2007 une exposition accompagnée d’une conférence sur la langue et la science arabes dans les locaux de l’UNESCO, sous le haut patronage du Prince héritier et sous l’égide de la Délégation Permanente du Royaume d’Arabie Saoudite auprès de l’UNESCO.

Etait chef de projet pour la première version de l’exposition 1001 inventions jusqu’à son lancement inaugural au Musée des Sciences et de l’Industrie de Manchester en 2003. Elle a ensuite agi à titre de conseiller en interne du contenu du Science Museum (UK) pour la nouvelle version de l’exposition 1001 inventions qui a lancé sa tournée mondiale au Science Museum en 2010. Elle a travaillé au Science Museum pendant plus de dix ans dans divers rôles principaux, dont six ans en tant que vulgarisatrice (médiatrice scientifique) dans les galeries scientifiques interactives, offrant des démonstrations expérimentales et informelles de main à la patte des expositions et des explications de concepts scientifiques via des interactions personnelles et avec un public plus large grâce à la prestation des spectacles et des ateliers. Yasmin a quitté son rôle de conservateur Team Manager pour prendre le poste de directeur d’interprétation à la British Library pour leur programme d’expositions dont le blockbuster “Out Of This World: Fiction, But Not As You Know It.” Elle travaille actuellement sur des projets relatifs à la diplomatie culturelle comme un conseiller culturel indépendant et écrivain freelance. Yasmin a une licence ès sciences en biologie appliquée de London South Bank University et un master en Science et Culture de Birkbeck College. Elle a reçu le 2011/12 Wellcome Trust Creative Fellowship pour devenir un membre du programme de Clore Leadership qui développe des leaders établis dans les secteurs artistique et culturel.

Est un expert en science politique, écrivain, enseignant, journaliste et diffuseur. Il est le rédacteur en chef de la Quinzaine recherche et de l’Europe de la recherche et professeur à l’Imperial College de Londres. Le dernier livre de Masood est la science et l’Islam: A History, dans lequel il raconte l’histoire de la façon dont la science s’est développée au cours de l’âge d’or de l’Islam, de 800 à 1500, le livre a été le support officiel pour une série documentaire en trois parties sur la BBC présentée par le primé Jim Al-Khalili, professeur de physique à l’Université de Surrey.

Est un physicien théoricien avec un PhD de l’University of Pennsylvania aux USA et est professeur de Physique à l’Université de Constantine1 ou il a dirigé l’Ecole Doctorale d’Astrophysique. Il est vice-président de l’Union Arabe d’Astronomie et de Sciences de l’Espace et préside l’une des plus connues associations amateur d’Astronomie en Afrique et dans le Monde Arabe. Il est l’auteur (avec Nidhal Guessoum) d’un livre de popularisation scientifique l’ »Histoire du Cosmos », publié en Arabe. Il est aussi actif dans le monde arabo-musulman sur les questions de science, société, et culture.

Directeur du Laboratoire de Recherche Théologiques et Religions Comparées ; professeur de dogme islamique, théologie (Ilm al-Kalam) et philosophie des sciences à l’Université Emir Abdelkader; de dialogue interreligieux et religions comparées à l’IESH de Paris; d’ éthique des sciences à Al-Manahidj Institute ; il est l’auteur de « le Coran et les miracles scientifiques » et de « L’eau entre la pénurie et de l’abondance » (avec Allaoua Anser et autres) et de « Environnement : Approche en doctrine islamique et la science » (avec Allaoua Anser et autres).

Docteur en sociologie et actuel directeur de l’Institut de Théologie « Al-Ghazâli » de la Grande Mosquée de Paris.
Après avoir obtenu son Doctorat en Sciences Humaines à Paris, il a été professeur à l’Université Paris X, maître assistant à l’université de Tripoli (1981-1983), puis il a été nommé maître de conférences à l’Université Sabha (Libye) de 1983 à 1986, en partenariat avec le CNRS.
Il fut ensuite journaliste professionnel de 1986 à 1994, avant de rejoindre l’unité pédagogique de la Mosquée de Paris en 1995.
Il est aujourd’hui responsable de la formation des Imams et des aumôniers.
Djelloul Seddiki est aussi engagé dans diverses associations (Dialogue Judéo-Musulman). Il est notamment vice-président de la Fraternité d’Abraham depuis 2005, co-président de l’Amitié Judéo-Musulmane de France, vice-président de la Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam, Secrétaire Général du Conseil du Rapprochement Sunnite et Chiite.
Il est également représentant de la Tarika Cheikhyya Chadhoulia en Europe et en Amérique du Nord.

Chargé de cours à l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et maître de conférences en philosophie des sciences dans le MBA du groupe HEC. Sa recherche est focalisée sur les implications philosophiques et sociales des nouvelles découvertes scientifiques, sur les liens entre Science et Religion et sur la façon de synthétiser et de diffuser les révolutions conceptuelles qui ont eu lieu au cours du XXe siècle. Il est diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, possède un DEA de Paléontologie Humaine du Muséum National d’Histoire Naturelle. Il est l’auteur de Notre existence a-t-elle un sens ? qui a connu un large succès en France et du livre « Au-delà de Darwin » aux éditions Jacqueline Chambon (groupe Actes-Sud).